Mimie Mathy se passionne très tôt pour les métiers du spectacle. Son DEUG de sciences économique décroché, elle décide d’arrêter ses études et se lance dans une carrière artistique.
Elle commence comme animatrice au VVF, et en 1979 intégre L'Atelier de Comédie musicale de Nice, créé par Michel Fugain. Pendant 3 ans, elle apprend le chant, la danse et la comédie. À la fermeture de l’Atelier, elle met le cap sur Paris pour y poursuivre sa carrière.
Elle y rencontre Jean-Claude Martin, metteur-en-scène et comédien, qui produit son premier one-woman-show : Elle voit des géant partout en 1982. Le spectacle est une réussite, et attire l’attention de Philippe Bouvard. Il l’engage pour sa nouvelle émission Le Petit Théâtre de Bouvard en 1983. Elle y rencontre Michèle Bernier et Isabelle de Botton avec qui elle crée le trio Les filles. Ensemble elles montent des spectacles : Existe en trois tailles en 1988, Le gros N'avion en 1991, et elles animent aussi une émisson de radio sur TMC : Y à que les files qui m'intérssent en 1992. Après cette aventure, elles se séparent afin de mener des carrières en solo.
En 1994, elle joue dans son one-woman-show Mimie au Splendid, co-écrit avec Pierre Palmade, le public l’acclame. Elle se lance dans un nouveau registre en tournant dans un téléfilm Une nounou pas comme les autres en 1994, c’est un carton en terme d’audience : elle tourne la suite en 1995. En 1997, TF1 la choisit pour incarner le rôle principal de la série
Joséphine Ange Gardien, elle pulvérise les audiences. Plus de cinquante épisodes après la série existe toujours ! Surfant sur le succès, elle continue d’enchaîner les téléfilms :
Changement de Cap en 1998, Famille de coeur en 1998…
En 2002 elle revient sur les planches dans J'adore papoter avec vous, nouveau triomphe ! Le trio Les filles se reforment à l’occassion de deux téléfilms : A trois c'est mieux en 2004 et Trois filles en cavale en 2011. En 2013, après une longue absence au théâtre, elle retrouve la scène avec son nouveau one-woman-show Je repapote avec vous.
Côté cœur, Mimie Mathy rencontre en 2003, son mari d’une manière originale. Chaque soir lors de son spectacle J'adore papoter avec vous elle fait monter un spectacteur choisi au hasard, ce soir-là c’est Benoît, coup de foudre réciproque ! Ils se marient le 27 août 2005.
La star de Joséphine ange gardien rêvait de fonder une famille avec son mari, la Nature en a voulu autrement.
C'est une confession douloureuse et très émouvante qu'a livrée la comédienne Mimie Mathy dans les colonnes de l'hebdomadaire TV Mag. Le 27 août 2005, elle épousait le restaurateur Benoist Gérard, rencontré lors de la représentation de son spectacle à Saint-Brieuc quelques mois auparavant lorsqu'elle l'a fait monté sur scène par pur hasard. A première vue, tout semble séparer ce couple, lui mesure 1m86, elle 1m32, elle est une héroïne de la télé à 250000 euros de cachet par épisode de Joséphine Ange Gardien, lui est chef cuisinier...
Pourtant la flamme s'allume et rien ne pourra les séparer, même la tristesse de n'avoir pu réaliser leur rêve commun : avoir un enfant ensemble : " Nous en avons parlé ". J'avais 45 ans mais Benoist m'a proposé d'essayer. Et puis ça n'a pas marché. C'est comme ça...", déclare-t-elle avant d'ajouter, toujours positive : "Mais j'ai quatre beaux-enfants que j'appelle mes jolis enfants."
Reste à Mimie Mathy le bonheur d'avoir trouvé l'homme de sa vie, même si elle ne semble toujours pas y croire : "Cela aurait pu être juste une rencontre, une aventure sans lendemain. Mais on a réussi à construire quelque chose de fort (...) Que m'a-t-il trouvé ? Pourquoi est-il toujours avec moi ? C'est sans doute ça l'amour..." Gageons qu'elle ne manquera pas de déclarer bien d'autres fois sa flamme à son époux.
Huit ans après son mariage, l’ange gardien de TF1 veille avec amour sur l’homme de sa vie.
PM : Dans votre nouveau spectacle, inspiré de votre vie personnelle, vous arrivez sur scène en robe de mariée. Est-ce une façon de célébrer vos 10 ans d’amour avec votre mari, Benoist Gérard ?
Mimie Mathy. Je souhaitais que ce spectacle débute comme un conte de fées correspondant à ce que j’ai vécu dans la vraie vie. C’est également une façon de donner de l’espoir aux autres, pour qu’ils se disent : “Si elle s’en est sortie, moi aussi je peux m’en
sortir !”
Vous y avez toujours cru ?
J’y ai cru très longtemps, car j’ai toujours été d’une nature optimiste. Et c’est justement lorsque je commençais à renoncer que j’ai rencontré mon bonhomme. C’était en avril 2003, à Saint-Brieuc, à la fin de ma tournée. Il avait cuisiné pour la troupe du théâtre, et on l’avait installé avec sa filleule aux deux seules places qui restaient au premier rang. Comme je le faisais chaque soir avec un spectateur pris au hasard dans la salle, je l’ai fait monter sur scène. Il avait l’air tellement gentil que je me suis dit : “Celui-là, il doit être homosexuel ou prêtre !” Lui ne savait pas trop qui j’étais. Il avait un vague souvenir de moi dans “Le petit théâtre de Bouvard”.
A 47 ans, vous réalisiez le rêve de votre vie : celui de vous marier…
Lorsqu’on se marie à cet âge, on sait qu’on ne va pas faire d’enfants mais qu’on élabore une construction à deux qu’on espère stable et forte. On veut vivre, vieillir et finir ensemble. Lui était séparé de sa femme. Moi, dans une histoire qui n’avait pas commencé avec des princes pas toujours charmants.
Mimie Mathy et Benoist Gérard chez eux, à Paris.
En épousant Benoist, vous deveniez aussi la belle-mère de quatre enfants…
Comme dans toutes les familles recomposées, il a fallu s’apprivoiser. Il y a eu des moments forts et des moments difficiles. Maintenant, il n’y a plus que des moments forts. Je ne lésais personne, il a juste fallu que chacun trouve sa place. Aujourd’hui, je vais être grand-mère sans être passée par l’étape maman !
Peu après votre mariage, Benoist, cuisinier de son état, ouvrait un restaurant près de l’Hôtel Drouot. Qu’en est-il aujourd’hui ?
Nous l’avons vendu il y a cinq ans. Pour qu’il soit rentable, il aurait fallu que Benoist assure aussi les repas du soir. Mais avec mon métier, nous ne nous serions jamais vus et ce n’est pas vraiment ce que l’on souhaite en se mariant tard ! Après l’épisode du restaurant, il a dû trouver quelque chose qui lui permette de s’épanouir. Il a suivi des stages d’œnologie et s’est pris d’une véritable passion pour le vin et la vigne.
De quelle façon l’exerce-t-il ?
Juste après avoir vendu le restaurant, nous avons acheté une maison en Provence, avec
7 000 mètres carrés de vignes. Au début, nous avons chargé quelqu’un de s’en occuper, jusqu’à ce que Benoist obtienne sa licence de vigneron. A présent, il est là-bas chaque semaine, du mercredi au samedi, et son vin, élaboré sous une forme biodynamique, va être bientôt commercialisé sous l’appellation “Domaine de Minoist”...
Longue vie à Mimie et son époux Benoist et à toute leur petite famille.
Comme dans toutes les familles recomposées, il a fallu s’apprivoiser. Il y a eu des moments forts et des moments difficiles. Maintenant, il n’y a plus que des moments forts. Je ne lésais personne, il a juste fallu que chacun trouve sa place. Aujourd’hui, je vais être grand-mère sans être passée par l’étape maman !
Peu après votre mariage, Benoist, cuisinier de son état, ouvrait un restaurant près de l’Hôtel Drouot. Qu’en est-il aujourd’hui ?
Nous l’avons vendu il y a cinq ans. Pour qu’il soit rentable, il aurait fallu que Benoist assure aussi les repas du soir. Mais avec mon métier, nous ne nous serions jamais vus et ce n’est pas vraiment ce que l’on souhaite en se mariant tard ! Après l’épisode du restaurant, il a dû trouver quelque chose qui lui permette de s’épanouir. Il a suivi des stages d’œnologie et s’est pris d’une véritable passion pour le vin et la vigne.
De quelle façon l’exerce-t-il ?
Juste après avoir vendu le restaurant, nous avons acheté une maison en Provence, avec
7 000 mètres carrés de vignes. Au début, nous avons chargé quelqu’un de s’en occuper, jusqu’à ce que Benoist obtienne sa licence de vigneron. A présent, il est là-bas chaque semaine, du mercredi au samedi, et son vin, élaboré sous une forme biodynamique, va être bientôt commercialisé sous l’appellation “Domaine de Minoist”...
Longue vie à Mimie et son époux Benoist et à toute leur petite famille.
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